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Nos Wakamees ont du talent : Charlotte Huther
Chaque mois nous donnons la parole à un(e) Wakamees qui oeuvre au quotidien pour rendre l’assurance impactante et transparente.
10 septembre 2021
6 minutes
Ce mois-ci nous donnons la parole à Charlotte, actuaire au sein de la Squad Technique chez Wakam ! Elle nous raconte son quotidien, au sein de l’Office Risk & Capital, la dynamique qu’ils ont réussi à mettre en place dans son équipe et pourquoi après 7 ans en cabinet de conseil elle décide de franchir le cap et de rejoindre Wakam. Pétillante et pleine de joie de vivre elle nous confie aussi ses rêves et les conseils qu’elle se serait donner plus jeune !
Hello, peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Charlotte Huther, je suis un pur produit de la région Parisienne (et de Paris maintenant). J’ai quitté un peu Paris pour mes études mais j’y suis vite revenue car c’est une ville que j’aime beaucoup.
J’ai fait des études d’actuariat à l’issue desquelles j’ai intégré un grand cabinet d’audit et de conseil. J’y suis restée 7 ans en tant que consultante.
Après cette super expérience j’ai rejoint Wakam en juillet 2019 en tant qu’actuaire dans l’Office Risk and Capital.
Alors, justement pourquoi as-tu rejoint Wakam ?
J’avais envie de changement ! Après 7 ans passés dans la même entreprise je voulais voir d’autres horizons. Je souhaitais aussi voir ce que ça faisait de travailler en tant qu’interne chez un assureur.
Mais j’avais un peu peur de me retrouver dans un grand groupe où les équipes sont très segmentées et de m’ennuyer.
J’ai une amie qui travaillait chez Wakam et qui m’a conseillée de postuler. Et maintenant je suis là !
Tu es « actuaire » mais ça consiste en quoi exactement ?
Je travaille au sein de la Squad Technique côté suivi de la Rentabilité. Chez Wakam, on travaille avec beaucoup de partenaires différents : assurtechs, courtiers, retailers, … Notre rôle est de les accompagner d’un point de vue technique et d’être garant de la rentabilité de nos portefeuilles. Chaque membre de l’équipe suit un portefeuille de partenariat. Pour ma part, je travaille sur des partenariats et produits très variés : de l’assurance affinitaire avec de l’extension de garantie, jusqu’à la multirisques immeuble en passant par de l’assurance automobile dans les DOM-TOM.
Avec les business developer, nous sommes les interlocuteurs privilégiés des partenaires lorsque le produit est en production.
Je suis avec attention les résultats techniques de nos partenaires et réalise régulièrement des études plus approfondies pour mieux analyser la constitution de nos portefeuilles.
Finalement, l’assurance c’est un équilibre délicat : la prime doit être suffisante pour garantir la rentabilité et donc la pérennité de notre offre. Mais elle doit rester raisonnable pour garder un bon positionnement par rapport au marché et rester attractif.
Si tu devais expliquer ton métier à un enfant de trois ans ?
Alors ce n’est déjà pas facile d’expliquer à un adulte mais alors à un enfant… (Rires) On va dire que j’analyse le passé pour essayer de comprendre le présent et estimer le futur.
Une semaine type pour toi chez Wakam ça ressemble à quoi ?
La chose que j’adore chez Wakam c’est que justement je n’ai pas de semaine type ! On a des petits rituels comme la plénière tous les mardis matin ou le comité technique tous les mois.
Mais sinon, il faut être prêt à passer rapidement d’un sujet à l’autre car tout change très vite.
Mais en résumé, j’alterne régulièrement entre des échanges avec nos partenaires et les autres Offices de Wakam. J’ai aussi des moments « seules » pour me concentrer et réaliser des revues actuarielles de mes portefeuilles.
Que penses-tu du secteur de l’assurance ?
Je pense que c’est un secteur qui est à la fois classique et en plein changement. Tu as d’un côté les assureurs traditionnels qui peuvent donner l’impression de ne pas avoir évolué depuis des années. (Et c’est une bonne qualité pour un assureur la stabilité !)
Mais c’est aussi un marché où tout est en train de bouger. Il y a beaucoup d’assurtechs qui arrivent sur le marché et avec lesquelles on travaille.
Et Wakam est un peu le reflet du changement. C’est une entreprise qui a des racines très anciennes mais qui s’est complètement transformée pour devenir un assureur innovant qui fait bouger les lignes de son secteur !
Sur quoi est-ce que tu travailles en ce moment ?
Alors j’ai deux gros sujets en ce moment.
Le premier, concerne la gestion du portefeuille d’un de nos plus gros partenaires sur de l’assurance affinitaire. C’est un sujet que je suis tout au long de l’année car il y a toujours des ajustements à faire ou des lancements de nouveaux produits.
J’ai repris aussi depuis le mois de septembre 2020, le portefeuille en multirisque immeuble (en savoir plus). On a changé de réassureur en janvier dernier et j’ai beaucoup travaillé avec la Squad Réasssurance sur la mise en place de nouveaux process.
Un truc dont tu es super fière que tu as fait chez Wakam ?
En fait, je n’ai pas UNE chose mais plein de petites victoires !
D’abord, je dirai la relation qu’on arrive à créer avec nos partenaires qui nous font confiance et avec lesquels on avance au quotidien.
Et ensuite, la dynamique qu’on a mis en place dans l’équipe. Chacun à son portefeuille de partenaires qu’il suit. Mais on échange beaucoup au quotidien pour s’entraider, mettre des process communs et surtout être sûr qu’on avance tous dans la même direction. On réussit à allier à la fois autonomie et travail d’équipe.
Si tu pouvais ajouter une chose dans les bureaux ?
Ça serait justement qu’on puisse tous revenir dans les bureaux et qu’on retrouve la dynamique qu’on avait avant le Covid. J’adorais pouvoir croiser les différentes Squads à la cafétéria avec le bruit du babyfoot en fond (rires). Ce sont toujours dans ces petits moments qu’on arrive à mieux se connaître et ça nous permet même parfois de débloquer des points ou faire avancer certains sujets.
Et sinon, il faudrait qu’on ajoute plus de poubelles de tri dans les bureaux. Je sais qu’on en a une mais ce n’est pas assez !
Si tu devais décrire la culture chez Wakam, que dirais-tu ?
Le mot qui résume le mieux la culture est : dynamisme ! Tout bouge tout le temps et très vite. Il y a toujours de nouveaux projets, de nouveaux Wakamees à rencontrer ou de nouveaux sujets à explorer. Wakam est en perpétuel mouvement (rires) !
Si tu pouvais changer de métier, que ferais-tu ?
Alors j’aime beaucoup ce que je fais donc pas sûr que je change un jour.
Mais j’adorerais travailler dans l’immobilier et être « chasseur d’appartements » par exemple. J’ai adoré chercher mon appart à Paris et j’ai aidé plein d’amis à trouver le leur !! Ça m’amuse beaucoup de regarder des annonces et d’aller visiter des apparts. En fait j’adore me projeter à l’intérieur et m’imaginer y vivre.
Si tu pouvais changer de place avec quelqu’un pour une journée ?
J’échangerais bien de place avec une grande chanteuse, mais je chante comme une casserole (rires) !
Sinon chez Wakam, on parle depuis un moment de mettre en place des « vis ma vie ». Ça serait génial de découvrir un peu plus le travail des autres équipes.
Quels conseils donnerais-tu à Charlotte quand elle était plus jeune ?
De se faire confiance ! Tu acquières de l’expérience petit à petit. Je pense qu’au début il ne faut pas hésiter à se lancer et faire au mieux.
Une petite routine le matin pour bien attaquer la journée ?
J’allume mon ordinateur, je regarde mes réunions, je vérifie mes emails et mes Slacks (au cas où il y aurait quelque chose d’urgent). Et après je me fais un petit thé !
Quelle est ta chanson ou ton groupe préféré(e) ?
J’écoute vraiment de tout et j’ai des phases pendant lesquelles je vais écouter pendant une ou deux semaines le même artiste. La semaine dernière c’était Lomepal et celle d’avant Van Morrison.
Mais il y a des chansons qui reviennent souvent comme « The Funeral de Band of Horses » ou « Ain’t No Mountain High Enough » de Marvin Gaye et Tammi Terrell.
Ton restaurant préféré à côté des locaux ?
On a tellement de choix à côté des bureaux ! Il y en a pour tous les goûts et pour tous les appétits. Mais si je devais en retenir un c’est Uma Nota. C’est un restaurant avec des influences brésiliennes et japonaises.
Le mot de la fin ?
N’hésitez pas à postuler pour nous rejoindre !
Propos recueillis en Mars 2021.
Emilien Matte
Brand Content & Social Media Lead